Le 8 de Bluebius est pas mal, tes références sont très intéressantes. Au passage, certaines pensent que le 11 septembre c'est Israël ? J'en avait entendu des vertes et des pas mûres mais jamais celle-là, ça croule d'illogique...
Le 8 de Zephyr est bien mais j'ai moins accroché perso.
Celui de D'jo, j'ai bien aimé son côté "histoire".
Une histoire sadique, mais ni satanique ni gothique
Seulement les chroniques d’un psychopathe en pleine crise psychotique
Comme un démon, mais impossible à exorciser pour info
Si je te découpe en morceaux réalise que ta vie se finit dans un Saw
Rien à foutre de leur miroir, d’ceux qui jactent, qui parlent
Je suis pas le diable, je suis pire moi en enfer je suis le pape
C’est pas une légende urbaine, c’est un film d’horreur en vrai
Et depuis même Freddy à peur de faire de mauvais rêves
Voilà le mien, un peu différent des autres, plus tourné égotrip pour le coup. J'ai utilisé certaines tournures modifiés de mes phases dans un morceau déjà existant.
J'ai vu que les autres ont expliqué leurs phases, mais je ne pense pas que ça soit utile pour le mien. Quoique tout le monde ne peut pas comprendre ce que je veux dire parfois.
Donc :
- "
Une histoire sadique, mais ni satanique ni gothique" => ça c'est pour annoncer que l'histoire que je vais raconter ne fais pas de moi un satanique ou un gothique. Juste quelqu'un de sadique, oui (Yarkyarkyark
!)
- "
mais impossible à exorciser pour info" => Référence au film l’Exorciste, que j'ai déjà utilisé dans un de mes morceaux mais que j'ai déformé ici. Dans celui-ci les "exorcistes" éliminent un démon qui possède une petite fille. Ici je dis que moi je suis impossible à "exorciser", car le démon n'est pas en moi, mais je le suis.
- "
Si je te découpe en morceaux réalise que ta vie se finit dans un Saw" => Dans la saga Saw, on retient surtout les membres découpés, les têtes arrachés, ect. Le sang coule à flot. Mais en plus j'ai joué sur le mot "Saw" et "seau", qui signifie la mort, dans les deux sens du terme. En gros, ta vie se finit comme dans un épisode de Saw, autant que tes restes finiront dans un seau.
- "
Rien à foutre de leur miroir" => Dans de nombreuses légendes urbaines, le mal apparaît à minuit devant un miroir quand on l'appelle. Moi j'ai pas besoin d'un miroir pour apparaître.
- "
moi en enfer je suis le pape" => Ici je joue sur les mots, sur le paradoxe. "Enfer" et "Pape" sont en opposition. L'un rejette l'autre et vice versa. Pourtant, je les combine pour formé une tournure qui donne "en enfer c'est moi qu'on vénère".
- "
C’est pas une légende urbaine, c’est un film d’horreur en vrai" => J'utilise le thème donné pour le poussé plus loin. En gros, même si cela pourrait le faire croire, ce que je raconte n'est pas une légende urbaine mais la réalité.
- "
Et depuis même Freddy à peur de faire de mauvais rêves" => Freddy Kruger est un meurtrier sadique de la saga "Les griffes de la nuit" qui tue les enfants pendant leur sommeil, dans d'affreux cauchemars. Dans ma phrase, Freddy a peur de son propre jeu, il a peur de faire des cauchemars car je suis pire que lui. Idem, cette référence fait déjà partit d'un texte existant.