Voila, ce n'est que le texte, je pense l'enregistrer dans la semaine peut-être (ça sera difficile pour des raisons personnelles mais bon...) je pense que ce texte est très difficile à cerner, mais en gros je pars d'un évènement qui à première vue paraît festif, en montrant qu'en fonction de notre vécu, des sensations on a pas tous le même point de vue et que pourtant on est regroupé devant cet évènement. Vous pouvez le prendre comme une métaphore de la vie mais à la base j'avais pas vraiment de thème, juste une image dans ma tête ou je me rappelle m'être retrouvé seul un soir sur mon balcon à regarder un feu d'artifice et à voir les gens heureux. Peace'
on perçoit pas tous la vie de la même manière
on a pas l'même mal-être mais on aime la vivre...
il y a ce couple qui l'observe le sourire aux lèvres
enlacés, l'homme pose un baiser sur les paumettes
de la fille... c'est un rencart romantique
derrière ses phrases trop sensibles le garçon ment-il?
On n'sait pas... main dans la main leur coeur bat si vite
Une étincelle c'est c'qu'évoque chez eux ce feu d'artifice
Pour d'autres cela n'a rien de pacifique loin du pacte civil
de l'amour un exhilé a fuit les balles qui s'tirent
ses tympans craquent à chaque éclat les flashs le traquent
il revoit ces bombes qui ont mis son frère sous plaque de marbre
cette vision bombarde son coeur de briques de C4
et y'a c'gosse émerveillé par les bruits d'ce spectacle
pour lui c'est un arc-en-ciel au milieu des étoiles
il oublie le désespoir les lumières l'attendrissent
Dans la poussette son petit frère se bouche les oreilles
car le bruit lui fait peur et lui a écourté l'sommeil
et cet artificier qui ignore ce que l'futur lui réserve
pour qui ses projectiles ne sont que des fusées de détresses
puis cet ouvrier qui fait des heures sup' dans son usine
qui n'a que les échos du feu en fond d'musique
au milieu de la foule ce jeune qui s'est mit la cuite
car le ciel lui rappelle ses proches qu'il a vu partir
puis y a cette fille qui voit la chute comme un jour de pluie
avec l'espoir que retombe en même temps son gout d'la vie
au bout d'lallée son prétendant avoue l'estimer
à défaut d'avoir des roses il lui offre un bouquet final
il se fait tard dans un coin de rue un type fait d'une âme
défend un homme de gifler une femme
quant à ce malvoyant il se sert de son imagination
mais voit plus clair que les autres dans cette machination
pour certains c'est festif pour d'autres c'est technique
mais j'texplique chacun sa vision du monde...
refrain :
t'as qu'à décrypter l'art pour décrire les larmes
les yeux pétillant face à la vie je fais silence
écris mes phases dans mon coin de rue
du feu d'artifice on en a pas tous le même point de vue
et y'a c'poête solitaire qui analyse la scène
d'une manière abstraite voit plus loin qu'la machine à rêve
il voit c'feu d'artifice comme un enterrement
il faut un départ au ciel pour réunir du monde
il pourrait jouer les troubles-fêtes mais il ne comprend pas
pourquoi on fait feu pour célébrer un jour de paix
il est sur sa feuille quand les autres profitent
certains l'appellent jordan d'autres le surnomment scrofy
Enlève la musique, les rimes et cela n'est que discours
la vérité se cache dans les oreilles de celui qui écoute
on perçoit pas tous la vie de la même manière
on a pas l'même mal-être mais on aime la vivre...
il y a ce couple qui l'observe le sourire aux lèvres
enlacés, l'homme pose un baiser sur les paumettes
de la fille... c'est un rencart romantique
derrière ses phrases trop sensibles le garçon ment-il?
On n'sait pas... main dans la main leur coeur bat si vite
Une étincelle c'est c'qu'évoque chez eux ce feu d'artifice
Pour d'autres cela n'a rien de pacifique loin du pacte civil
de l'amour un exhilé a fuit les balles qui s'tirent
ses tympans craquent à chaque éclat les flashs le traquent
il revoit ces bombes qui ont mis son frère sous plaque de marbre
cette vision bombarde son coeur de briques de C4
et y'a c'gosse émerveillé par les bruits d'ce spectacle
pour lui c'est un arc-en-ciel au milieu des étoiles
il oublie le désespoir les lumières l'attendrissent
Dans la poussette son petit frère se bouche les oreilles
car le bruit lui fait peur et lui a écourté l'sommeil
et cet artificier qui ignore ce que l'futur lui réserve
pour qui ses projectiles ne sont que des fusées de détresses
puis cet ouvrier qui fait des heures sup' dans son usine
qui n'a que les échos du feu en fond d'musique
au milieu de la foule ce jeune qui s'est mit la cuite
car le ciel lui rappelle ses proches qu'il a vu partir
puis y a cette fille qui voit la chute comme un jour de pluie
avec l'espoir que retombe en même temps son gout d'la vie
au bout d'lallée son prétendant avoue l'estimer
à défaut d'avoir des roses il lui offre un bouquet final
il se fait tard dans un coin de rue un type fait d'une âme
défend un homme de gifler une femme
quant à ce malvoyant il se sert de son imagination
mais voit plus clair que les autres dans cette machination
pour certains c'est festif pour d'autres c'est technique
mais j'texplique chacun sa vision du monde...
refrain :
t'as qu'à décrypter l'art pour décrire les larmes
les yeux pétillant face à la vie je fais silence
écris mes phases dans mon coin de rue
du feu d'artifice on en a pas tous le même point de vue
et y'a c'poête solitaire qui analyse la scène
d'une manière abstraite voit plus loin qu'la machine à rêve
il voit c'feu d'artifice comme un enterrement
il faut un départ au ciel pour réunir du monde
il pourrait jouer les troubles-fêtes mais il ne comprend pas
pourquoi on fait feu pour célébrer un jour de paix
il est sur sa feuille quand les autres profitent
certains l'appellent jordan d'autres le surnomment scrofy
Enlève la musique, les rimes et cela n'est que discours
la vérité se cache dans les oreilles de celui qui écoute