Comme dit dans la description, il s'agit je pense, du texte le plus profond que j'ai pu écrire. Ça faisait des années que je voulais aborder ce thème, mais je ne savais pas comment m'y prendre pour qu'il soit sentimentalement assez recherché.
Normalement vous devriez tout comprendre en lisant le texte. J'espère que vos avis seront dans l'ensemble plutôt bon.
Une étoile filante
J'étais trop têtu, ça m'a tué, je connaissais pas la vie au pluriel
Ce soir là, j'ai juste aperçu des lumières vives puis plus rien
C'est sous cette pluie battante que j'ai rendu mon dernier soupir
Mais je comprends pas j'ai pas vu défilé un seul de mes souvenirs
Et maintenant me voilà, moi qui est passé toute ma vie à en parler
Des soirées au bord des larmes parfois même en train d'pleurer
J'ai pas de regret, à part d'être partis comme un incompris
C'est con à dire mais putain j'ai l'impression de n'avoir rien accompli
C'est fou comme la vie passe vite surtout fauché dans un accident
Et maintenant c'est à mon tour moi qui étais assis dans
La salle d'attente, désormais l'obscurité et le froid m'entourent
Je me sens vide, sans vie, partit d’un allé simple sans retour
Pourtant, même ici je ne cesse de me poser des questions
Je me demande si pour certain ma mort rime avec dépression
Qui viens pleurer mon prénom sur ma tombe, dire que je lui manque
Qui je hante, qui broie du noir pendant ces longues nuits blanches
Qui, j'aimerai tellement avoir tort de croire que personne m'aime
Car je suis partis avec dans le cœur une immense douleur personnelle
Putain mais qu'est ce que je foutais là ? C'est pas la question mais qu'est ce que je fous là ?
Merde, je réalise qu'il est trop tard là je suis trop loin de tout ça
La vie c'est ça, on part de la ligne d'arrivée jusqu'à la case départ
Et moi, j'y suis arrivé malgré beaucoup d'écarts
L'amour, j'ai quitté ce monde en laissant un point d'interrogation
Mais j'étais trop têtu et fier de moi pour faire la moindre dérogation
Moi, si froid, de mon vivant si absent si solitaire
Est-ce que ça va changer quoique ce soit maintenant qu'ici je suis seul et j'erre
Mais j'ai pas géré franchement y a même des fois j'ai failli dégénérer
Poussé à bout au bord du gouffre quand parfois la vie se déchaînait
Papa maman, je pensais pas tous ces mots blessants c'était qu'du vent
Je suis désolé mais comme un lâche j'avais pas le cran de vous le dire devant
Je m'excuse et je voulais vous dire que malgré mon sale caractère
J'oublie pas que mon cœur battait grâce à vous et ça j'en suis fier
J'espère rester dans le votre, je vous aime, mais la mort m'attends
T'imagine pas les remords que j'ai d'avoir déchiré ta lettre maman
Nan, s'il te plait sèches tes larmes, je peux pas t'imaginer en pleure
C'est pas un drame même si les événements ont pris une telle ampleur
Gaspillez pas vos fleurs sachant qu'aucune pétale de rose n'reflète ma vie
Plutôt morose je voyais les autres sourirent moi je mourrais d'ennui
Après on dit que c'est ça la vie, alors c'est ça de vivre, de souffrir ?
Quand je pense que moi je n'ai jamais eu la chance de sourire
J'ai baissé les bras, même mon cœur à cesser de battre et mes espoirs
Sont tous partis en poussière en l'espace d'un soir
Je pense à des personnes qui malgré le temps et la distance m'ont toujours manqué
Je pense, à des moments de ma vie qui l'ont marqués
Je pense, ouais, vu que j'ai plus que ça à faire alors je pense à une autre vie
Le pire cauchemar que j'ai fais c'est quand j'ai rêvé de ma propre vie
Dans ma poitrine je sens un manque pourtant le poids de mon chagrin m'écrase
Si je pouvais encore pleurer là je n'en serai qu'à la première phrase
J'ai cherché le bonheur pendant toute mon existence
Donc est-ce une question de malchance ou une question d'insuffisance ?
Écoute Sandra, fallait que je te dise que je tiens trop à toi
Je voudrais que tu pense à moi je sais pas si tu m'entends mais d'ici je pense à toi
Plus de message car là où je suis tu sais il n'y a ni réseau ni téléphone
Ça m'attriste mais bon, je te souhaite la réussite travail bien à l'école
J'avais encore tant de chose à te dire, et ça m'écœure
Que ma fierté m'empêchait de dire tout ce que j'avais sur le cœur
J'ai tort de le nier, parfois la roue à tournée dans mon sens
Mais moi j'étais trop niais et je n'étais jamais dans le bon sens
Parfois j'avoue, je rêvais d'une vie paisible un bonheur inaccessible
Avoir une vie tranquille être heureux avec une petite chérie
Putain c'est fini, l'impression d'être parti beaucoup trop con
Je n'ai jamais connu les larmes de joie, que des larmes profondes
Un cœur de pierre tu parles, il était si fragile
A force de souffrir j'avais l'impression de n'être qu'une cible facile
J'aurais pu le dire, dire que j'avais mal au moins juste faire un signe
Mais j'avais trop de fierté pour montrer que j'étais une âme sensible
Je n’étais qu’un sale égoïste, malgré tous mes soit-disons principes
Derrière lesquelles je cachais ce foutu manque affectif
Et tout ce à quoi ça incite, j'étais poussé au bord du suicide
Parce que je pouvais plus supporter tous ces putain de soucis
Toutes ces putain de conneries, j'étais à bout j'en avais marre
Quand tous les jours j'étais envahi par toutes ces idées noirs
Je n'avais aucune confiance, ce qui a accentué ma méfiance
Pas même une seule confidence pour exprimer mes souffrances
Alors j'ai souffert en silence, au point d'en devenir muet
Et c'est dans la tristesse et les pleures que je me suis emmuré
Mais je n'ai rien perdu, toute façon je n'avais déjà rien à perdre
Depuis que mes sentiments n'ont fait qu'approfondir ma peine
Je suis partis, telle une étoile filante dans les cieux
Sous la pluie, sans doute des larmes scintillantes dans les yeux
Je pourrais pas vous le dire, car je ne reverrai plus le soleil radieux
Comment vous dire au revoir quand celui-ci est un adieu
Normalement vous devriez tout comprendre en lisant le texte. J'espère que vos avis seront dans l'ensemble plutôt bon.
Une étoile filante
J'étais trop têtu, ça m'a tué, je connaissais pas la vie au pluriel
Ce soir là, j'ai juste aperçu des lumières vives puis plus rien
C'est sous cette pluie battante que j'ai rendu mon dernier soupir
Mais je comprends pas j'ai pas vu défilé un seul de mes souvenirs
Et maintenant me voilà, moi qui est passé toute ma vie à en parler
Des soirées au bord des larmes parfois même en train d'pleurer
J'ai pas de regret, à part d'être partis comme un incompris
C'est con à dire mais putain j'ai l'impression de n'avoir rien accompli
C'est fou comme la vie passe vite surtout fauché dans un accident
Et maintenant c'est à mon tour moi qui étais assis dans
La salle d'attente, désormais l'obscurité et le froid m'entourent
Je me sens vide, sans vie, partit d’un allé simple sans retour
Pourtant, même ici je ne cesse de me poser des questions
Je me demande si pour certain ma mort rime avec dépression
Qui viens pleurer mon prénom sur ma tombe, dire que je lui manque
Qui je hante, qui broie du noir pendant ces longues nuits blanches
Qui, j'aimerai tellement avoir tort de croire que personne m'aime
Car je suis partis avec dans le cœur une immense douleur personnelle
Putain mais qu'est ce que je foutais là ? C'est pas la question mais qu'est ce que je fous là ?
Merde, je réalise qu'il est trop tard là je suis trop loin de tout ça
La vie c'est ça, on part de la ligne d'arrivée jusqu'à la case départ
Et moi, j'y suis arrivé malgré beaucoup d'écarts
L'amour, j'ai quitté ce monde en laissant un point d'interrogation
Mais j'étais trop têtu et fier de moi pour faire la moindre dérogation
Moi, si froid, de mon vivant si absent si solitaire
Est-ce que ça va changer quoique ce soit maintenant qu'ici je suis seul et j'erre
Mais j'ai pas géré franchement y a même des fois j'ai failli dégénérer
Poussé à bout au bord du gouffre quand parfois la vie se déchaînait
Papa maman, je pensais pas tous ces mots blessants c'était qu'du vent
Je suis désolé mais comme un lâche j'avais pas le cran de vous le dire devant
Je m'excuse et je voulais vous dire que malgré mon sale caractère
J'oublie pas que mon cœur battait grâce à vous et ça j'en suis fier
J'espère rester dans le votre, je vous aime, mais la mort m'attends
T'imagine pas les remords que j'ai d'avoir déchiré ta lettre maman
Nan, s'il te plait sèches tes larmes, je peux pas t'imaginer en pleure
C'est pas un drame même si les événements ont pris une telle ampleur
Gaspillez pas vos fleurs sachant qu'aucune pétale de rose n'reflète ma vie
Plutôt morose je voyais les autres sourirent moi je mourrais d'ennui
Après on dit que c'est ça la vie, alors c'est ça de vivre, de souffrir ?
Quand je pense que moi je n'ai jamais eu la chance de sourire
J'ai baissé les bras, même mon cœur à cesser de battre et mes espoirs
Sont tous partis en poussière en l'espace d'un soir
Je pense à des personnes qui malgré le temps et la distance m'ont toujours manqué
Je pense, à des moments de ma vie qui l'ont marqués
Je pense, ouais, vu que j'ai plus que ça à faire alors je pense à une autre vie
Le pire cauchemar que j'ai fais c'est quand j'ai rêvé de ma propre vie
Dans ma poitrine je sens un manque pourtant le poids de mon chagrin m'écrase
Si je pouvais encore pleurer là je n'en serai qu'à la première phrase
J'ai cherché le bonheur pendant toute mon existence
Donc est-ce une question de malchance ou une question d'insuffisance ?
Écoute Sandra, fallait que je te dise que je tiens trop à toi
Je voudrais que tu pense à moi je sais pas si tu m'entends mais d'ici je pense à toi
Plus de message car là où je suis tu sais il n'y a ni réseau ni téléphone
Ça m'attriste mais bon, je te souhaite la réussite travail bien à l'école
J'avais encore tant de chose à te dire, et ça m'écœure
Que ma fierté m'empêchait de dire tout ce que j'avais sur le cœur
J'ai tort de le nier, parfois la roue à tournée dans mon sens
Mais moi j'étais trop niais et je n'étais jamais dans le bon sens
Parfois j'avoue, je rêvais d'une vie paisible un bonheur inaccessible
Avoir une vie tranquille être heureux avec une petite chérie
Putain c'est fini, l'impression d'être parti beaucoup trop con
Je n'ai jamais connu les larmes de joie, que des larmes profondes
Un cœur de pierre tu parles, il était si fragile
A force de souffrir j'avais l'impression de n'être qu'une cible facile
J'aurais pu le dire, dire que j'avais mal au moins juste faire un signe
Mais j'avais trop de fierté pour montrer que j'étais une âme sensible
Je n’étais qu’un sale égoïste, malgré tous mes soit-disons principes
Derrière lesquelles je cachais ce foutu manque affectif
Et tout ce à quoi ça incite, j'étais poussé au bord du suicide
Parce que je pouvais plus supporter tous ces putain de soucis
Toutes ces putain de conneries, j'étais à bout j'en avais marre
Quand tous les jours j'étais envahi par toutes ces idées noirs
Je n'avais aucune confiance, ce qui a accentué ma méfiance
Pas même une seule confidence pour exprimer mes souffrances
Alors j'ai souffert en silence, au point d'en devenir muet
Et c'est dans la tristesse et les pleures que je me suis emmuré
Mais je n'ai rien perdu, toute façon je n'avais déjà rien à perdre
Depuis que mes sentiments n'ont fait qu'approfondir ma peine
Je suis partis, telle une étoile filante dans les cieux
Sous la pluie, sans doute des larmes scintillantes dans les yeux
Je pourrais pas vous le dire, car je ne reverrai plus le soleil radieux
Comment vous dire au revoir quand celui-ci est un adieu