Sur un format de chanson :
Allongée sur ton lit, à contempler tes rêves,
Je marche seul à tes cotés, attendant que tu te lèves,
Mon portable, un café, le soleil par la fenêtre,
Le monde est beau, mais demain il changera peut-être,
Un œil sur l’aiguille histoire de ne pas oublier tes yeux,
Dans le fond, nous sommes si jeunes mais déjà tellement vieux,
Dehors les hommes tournent et roulent sans trop savoir où ils vont,
Dedans les hommes fument et pensent sans trop savoir où ils sont,
(Refrain)
Pour que tu vives, pour que tu vives
Pour que tu ne meures pas de leurs prières,
Et pour que tu vives, pour que tu puisses
Un jour te dire que tout ça, c’était hier
Et pour que tu vives, pour que tu viennes
Un jour à te dire que tout ça n’était qu’illusion,
Et pour que tu vives, et pour que tu rêves
Un jour dans mes bras, d’aborder la conclusion…
J’aimerais, d’où je suis savoir à quoi tu penses,
Si ma voix dans tes songes résonne et puis s’élance,
J’aimerais, d’où je suis, revoir un peu de toi,
Malgré ce qu’ils disent, ici tous les hommes ont perdu la foi,
Alors je t’ai suivi, pensant que leur monde m’attendait,
Déçu de voir que tous parlaient mais qu’aucuns ne s’entendaient,
Ils ont pourtant, à ce que je vois, moins de bouches que d’oreilles,
Seulement ils ont des yeux, ils ne se nourrissent que d’oseille,
Et je sais très bien que le vent éteindra une nuit ma flamme,
Mais si entre deux je réussis à érafler de ma main vos murs,
Si dans vos océans de secrets la vérité trouve une rame,
Je serai fier d’avoir pu rendre plus agréable votre promenade,
Et pour que tu vives, crois-moi, je ferais beaucoup,
Peut-être pas tout, les cordes n’aiment pas mon cou,
Allongée sur ton lit, sortant de ta léthargie,
Habillée d’un sourire, je ne sais si tu as mal agi.
Pour que tu vives, pour que tu vives…
Pour que tu vives enfin, pour nous…
Pour que tu voies, pour que tu sois,
Un jour, rien qu’une fois, que tu sois toi et moi…
Peace
Allongée sur ton lit, à contempler tes rêves,
Je marche seul à tes cotés, attendant que tu te lèves,
Mon portable, un café, le soleil par la fenêtre,
Le monde est beau, mais demain il changera peut-être,
Un œil sur l’aiguille histoire de ne pas oublier tes yeux,
Dans le fond, nous sommes si jeunes mais déjà tellement vieux,
Dehors les hommes tournent et roulent sans trop savoir où ils vont,
Dedans les hommes fument et pensent sans trop savoir où ils sont,
(Refrain)
Pour que tu vives, pour que tu vives
Pour que tu ne meures pas de leurs prières,
Et pour que tu vives, pour que tu puisses
Un jour te dire que tout ça, c’était hier
Et pour que tu vives, pour que tu viennes
Un jour à te dire que tout ça n’était qu’illusion,
Et pour que tu vives, et pour que tu rêves
Un jour dans mes bras, d’aborder la conclusion…
J’aimerais, d’où je suis savoir à quoi tu penses,
Si ma voix dans tes songes résonne et puis s’élance,
J’aimerais, d’où je suis, revoir un peu de toi,
Malgré ce qu’ils disent, ici tous les hommes ont perdu la foi,
Alors je t’ai suivi, pensant que leur monde m’attendait,
Déçu de voir que tous parlaient mais qu’aucuns ne s’entendaient,
Ils ont pourtant, à ce que je vois, moins de bouches que d’oreilles,
Seulement ils ont des yeux, ils ne se nourrissent que d’oseille,
Et je sais très bien que le vent éteindra une nuit ma flamme,
Mais si entre deux je réussis à érafler de ma main vos murs,
Si dans vos océans de secrets la vérité trouve une rame,
Je serai fier d’avoir pu rendre plus agréable votre promenade,
Et pour que tu vives, crois-moi, je ferais beaucoup,
Peut-être pas tout, les cordes n’aiment pas mon cou,
Allongée sur ton lit, sortant de ta léthargie,
Habillée d’un sourire, je ne sais si tu as mal agi.
Pour que tu vives, pour que tu vives…
Pour que tu vives enfin, pour nous…
Pour que tu voies, pour que tu sois,
Un jour, rien qu’une fois, que tu sois toi et moi…
Peace