Salut à tous, voilà un 16 écrit pour un remix du son de Future avec un pote :
Les jours se suivent et à chacun j’déraille, de plus en plus j’fais attention à tous les détails,
Si t’as pas d’ferraille tu finis quand même dans l’tas, tu verras les hommes c’est qu’du bétail,
Alors j’déroge à leur règle, j’rigole d’outre-tombe comme chuchote Desproges à l’oreille,
Si j’dis qu’j’décroche à l’oseille, on m’dira Dwayne t’es qu’un escroc, l’calot saigne,
Si les hommes étaient nés sourds, ma vie n’aurait sûrement eu aucun grand sens,
Un jour tu m’taille et l’autre tu m’encenses, faudrait savoir où s’placent tes mots, p’têtre dans ta tête en sang,
J’réduirai vos quêtes en cendres s’il le faut pour que la mienne finisse par aboutir,
Autant jouer les abrutis à vous dire la vérité, à l’usine, à la rue, on ferme la boutique,
J’aimerais que le monde passe sous Windows, ainsi j’arrêterais c’putain d’système,
Liberté tu peux tenter d’sécher tes larmes car aujourd’hui plus qu’un fils t’aime,
J’divise les hommes en deux, les abrutis qui m’aiment pas et les abrutis qui m’aiment,
J’péfère m’consacrer à ceux qui m’comprennent, plutôt qu’aux chequi qu’on traine,
J’ai plus envie d’faire le gentil, et tant pis pour les gens qui revendiquent tout,
Qui fendirent la poire en mille sans dire pour qui, on s’enfuit, allez on t’laisse quand même en vie,
D’un coté mes rimes et les mutins les scandent, de l’autre plus d’un m’descendent,
Roi du butin j’les revends, j’crois qu’on rappe plus dans l’putain d’même temps.
J'espère en avoir de bons avis,
Peace
Les jours se suivent et à chacun j’déraille, de plus en plus j’fais attention à tous les détails,
Si t’as pas d’ferraille tu finis quand même dans l’tas, tu verras les hommes c’est qu’du bétail,
Alors j’déroge à leur règle, j’rigole d’outre-tombe comme chuchote Desproges à l’oreille,
Si j’dis qu’j’décroche à l’oseille, on m’dira Dwayne t’es qu’un escroc, l’calot saigne,
Si les hommes étaient nés sourds, ma vie n’aurait sûrement eu aucun grand sens,
Un jour tu m’taille et l’autre tu m’encenses, faudrait savoir où s’placent tes mots, p’têtre dans ta tête en sang,
J’réduirai vos quêtes en cendres s’il le faut pour que la mienne finisse par aboutir,
Autant jouer les abrutis à vous dire la vérité, à l’usine, à la rue, on ferme la boutique,
J’aimerais que le monde passe sous Windows, ainsi j’arrêterais c’putain d’système,
Liberté tu peux tenter d’sécher tes larmes car aujourd’hui plus qu’un fils t’aime,
J’divise les hommes en deux, les abrutis qui m’aiment pas et les abrutis qui m’aiment,
J’péfère m’consacrer à ceux qui m’comprennent, plutôt qu’aux chequi qu’on traine,
J’ai plus envie d’faire le gentil, et tant pis pour les gens qui revendiquent tout,
Qui fendirent la poire en mille sans dire pour qui, on s’enfuit, allez on t’laisse quand même en vie,
D’un coté mes rimes et les mutins les scandent, de l’autre plus d’un m’descendent,
Roi du butin j’les revends, j’crois qu’on rappe plus dans l’putain d’même temps.
J'espère en avoir de bons avis,
Peace