Mon blog ou y'a mon son : http://krise2mic.skyrock.com/
J’écris ce rap mélancolique/au fond j’ai pas un cœur de pierre
Devant j’remballe toutes les critiques/d’mon pèère, en vrai j’ai peur d’le perdre
Consterné par c’que l’monde devient/spectateur de la décadence
Les jeunes n’ont plus les mêmes besoins/les manques de drogues sont des carences
Quand je me pose et j’réfléchis/des paroles emplissent ma tête
C’est en prose que j’les traduit/en chantant j’remplis ma quête
J’ai besoin de liberté/comme chaque personne j’ai envie d’elle
J’ai envie d’sérénité/mais pour voler j’ai besoin d’ailes
Quand je chante je crée un monde/je réalise mes utopies
Mes paroles donnent vie aux songes/tu écoutes et tu oublies
Je me perds, j’peux rien faire/face aux chemins pris par mes frères.
Face aux conflits, on n’peut se taire/pour les résoudre faut croiser l’fer
Ce texte me fait penser/à toutes les années qu’j’gâché
Que j’passais à côté/d’amitié à partager
Dans c’monde cruel rien n’est parfait/on juge selon la provenance
Les lois s’adaptent au pedigree/l’état n’en fait qu’à sa convenance
Plus de possibilités/les immigrés travaillent au black
Il faut pas naître basané/ca permet pas d’aller en fac
Toutes les putes du lycée/aujourd’hui on trouvé un mac
On aimerait s’jeter à l’eau/mais on fait qu’tomber dans des flaques
Les gens d’couleur sont fichés, l’racisme fait son trombinoscope.
Un Noir dans la rue et c’est fichu, les extrémistes tombent en syncope.
Les mouvements dissidents font rage, de plus en plus d’actes barbares.
Les mêmes chances pour chaque ménage » mais y’a qu’des riches en fac d’Harvard.
Si les lois partent en sucette, c’est qu’tout l’monde fait qu’les violer.
L’Etat enchaîne à l’aveuglette, normal qu’on dise qu’on dise « fuck les geôliers »
Les églises ont changées, on trouve des flingues dans l’tabernacle.
L’hôpital s’fout d’la charité, si t’a pas d’ronds, bah ta mère claque.
La politique look la misère la bouche en cul d’poule
Si t’es au bord du gouffre avec l’Etat, t’inquiètes pas y’en a un qui t’pousse.
On donne des cacahuètes aux singes, mais pas d’maisons aux sans-foyers.
Les dirigeants nous regardent de haut, car, en l’air ils s’envoyaient.
En prison, des criminels, et des victimes du système.
Pendant qu’l’état s’baigne dans l’argent, le Darfour vit la crise de citerne
Dans la série des films honnêtes, Coach Carter est l’seul navet qu’ma plu…
Un bataillon d’idées dans ma tête j’donne l’assaut avec ma plume
Plus de possibilités/les immigrés travaillent au black
Il faut pas naître basané/ca permet pas d’aller en fac
Toutes les putes du lycée/aujourd’hui on trouvé un mac
On aimerait s’jeter à l’eau/mais on fait qu’tomber dans des flaques
J’écris ce rap mélancolique/au fond j’ai pas un cœur de pierre
Devant j’remballe toutes les critiques/d’mon pèère, en vrai j’ai peur d’le perdre
Consterné par c’que l’monde devient/spectateur de la décadence
Les jeunes n’ont plus les mêmes besoins/les manques de drogues sont des carences
Quand je me pose et j’réfléchis/des paroles emplissent ma tête
C’est en prose que j’les traduit/en chantant j’remplis ma quête
J’ai besoin de liberté/comme chaque personne j’ai envie d’elle
J’ai envie d’sérénité/mais pour voler j’ai besoin d’ailes
Quand je chante je crée un monde/je réalise mes utopies
Mes paroles donnent vie aux songes/tu écoutes et tu oublies
Je me perds, j’peux rien faire/face aux chemins pris par mes frères.
Face aux conflits, on n’peut se taire/pour les résoudre faut croiser l’fer
Ce texte me fait penser/à toutes les années qu’j’gâché
Que j’passais à côté/d’amitié à partager
Dans c’monde cruel rien n’est parfait/on juge selon la provenance
Les lois s’adaptent au pedigree/l’état n’en fait qu’à sa convenance
Plus de possibilités/les immigrés travaillent au black
Il faut pas naître basané/ca permet pas d’aller en fac
Toutes les putes du lycée/aujourd’hui on trouvé un mac
On aimerait s’jeter à l’eau/mais on fait qu’tomber dans des flaques
Les gens d’couleur sont fichés, l’racisme fait son trombinoscope.
Un Noir dans la rue et c’est fichu, les extrémistes tombent en syncope.
Les mouvements dissidents font rage, de plus en plus d’actes barbares.
Les mêmes chances pour chaque ménage » mais y’a qu’des riches en fac d’Harvard.
Si les lois partent en sucette, c’est qu’tout l’monde fait qu’les violer.
L’Etat enchaîne à l’aveuglette, normal qu’on dise qu’on dise « fuck les geôliers »
Les églises ont changées, on trouve des flingues dans l’tabernacle.
L’hôpital s’fout d’la charité, si t’a pas d’ronds, bah ta mère claque.
La politique look la misère la bouche en cul d’poule
Si t’es au bord du gouffre avec l’Etat, t’inquiètes pas y’en a un qui t’pousse.
On donne des cacahuètes aux singes, mais pas d’maisons aux sans-foyers.
Les dirigeants nous regardent de haut, car, en l’air ils s’envoyaient.
En prison, des criminels, et des victimes du système.
Pendant qu’l’état s’baigne dans l’argent, le Darfour vit la crise de citerne
Dans la série des films honnêtes, Coach Carter est l’seul navet qu’ma plu…
Un bataillon d’idées dans ma tête j’donne l’assaut avec ma plume
Plus de possibilités/les immigrés travaillent au black
Il faut pas naître basané/ca permet pas d’aller en fac
Toutes les putes du lycée/aujourd’hui on trouvé un mac
On aimerait s’jeter à l’eau/mais on fait qu’tomber dans des flaques