Un texte que j'poserai quand j'pourrai, j'ai quelques galères pour l'enregistrement. C'est pas forcément la prod sur laquelle je kickerai le texte mais elle qui colle bien quand même avec, pour ceux qui préfèrent lire en musique:
Bonne lecture a tous:
Vécu d’poissard, j’ai vu potes saigner en ayant vu l’pire
Et si j’suis un tombeur, c’est bien parce que je suis en chute libre
J’m’enfume vite, quand la haine règne et que la femme me blesse
Dans mes poumons qu’des arbres tu pourras pas y trouver d’rail de cess
Des fois je reste, perplexe sur l’avenir qu’on m’reserve
Y’en a qui comptent leurs sous moi d’vant la glace je compte mes cernes
Anti-chiennasses, tous mes sons fracassent vos putains
On t’casse les couilles avec le bac une fois qu’tu l’as ça vaut plus rien
Yo j’suis qu’un jeune de plus, qui a suivi l’mauvais chemin
Si tes proches se mettent a 4 pattes, différencies l’homme et le chien
Quand y’a embrouille mes refrés tombent, mais combien d’entre eux veulent les ronds
Combien d’maquettes j’ai envoyé sans recevoir une seule réponse
J’ai peur j’décompte le temps qu’il m’reste, pour construire un av’nir
Sans vice et d’grands business, et sans m’repentir dans la tise
Ma vie est froide et sombre, comme la matraque du maton
Une chose est sûre c’est qu’a ma mort j’aurai des punchlines sur ma tombe
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
Les miens comatent, quant a la rue j’te dis j’l’ai bien rodave
J’me dis qu’j’ai pas les cartes en main pour pouvoir finir plein aux as
Des morts et des remords sont trop présents dans la potion qu’j’tise
Avec un kil on d’vient pas roi la France c’est pas la Colombie
On s’dit libres mais toutes ces tours sont dev’nues nos sons-pri
Ils ont d’la merde dans les oreilles j’arrête le rap j’vais vendre des cotons tiges
Bah ouais j’pars en bataille, un pilon un micro sur l’écusson
Des basses des percussions toutes la journée mais moi j’aime faire du son
A force de jouer près du gouffre trop m’ont dit qu’j’finirai par sauter
Au fond j’suis toujours ce gosse qui vise la Lune les airmax aux pieds
Les salopes aiment la maille t’auras pas d’bas résilles sans gros dollars
Les petits aiment la thaï fini les garrettes-ci en chocolat
On a l’même objectif que la moyenne, noix d’cocos et maroccos
Mais les survets et les casquettes font croire qu’on est pas normaux
Vas dire au millionnaires que les smicards voudraient tout faire péter
J’peux faire du topiari quand les potos ont un bout d’herbe épais
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
Les petits gars s’disent grands, barres toi d’ici si t’aimes pas l’ciment,
Besoin de chance dans ma vie j’pétard grigris et talismans
On attend comme des caïmans devant les portes des bâtiments
J’ferai quécro les gars tils-gen, la vie d’ma mère butez-moi si j’ments
Dans l’rap c’est moi l’patron, j’attends juste que les autres me vouvoient
En dessous de l’orage j’attends que la malchance me foudroie
Très peu sournois,parfois j’suis calme et je suis légendaire
Si les autres parlent sur moi, dites leur bien que moi j’les enmerde
C’est pour la Terre entière, la vie ne se réduit pas qu’au quartier
Aux ‘tass et aux tarpés, aux p’tites bagarres et aux vagos crâmées
Tu sais qu’ma prose ranime, faut pas qu’les soss paniquent
Dites aux p’tits qu’on lave pas l’argent sale au lavomatic
Messieurs les mc, vous aviez pourtant dit qu’vous gard’rez vos caleçons
Mais vous baissez vos frocs pour jouer les thugs en gova d’location
J’voulais brasser un peu mais ces bâtards ont pris ma liasse tu vois
Dans le royaume du rap tous les bouffons ont pris la place du roi
Bonne lecture a tous:
Vécu d’poissard, j’ai vu potes saigner en ayant vu l’pire
Et si j’suis un tombeur, c’est bien parce que je suis en chute libre
J’m’enfume vite, quand la haine règne et que la femme me blesse
Dans mes poumons qu’des arbres tu pourras pas y trouver d’rail de cess
Des fois je reste, perplexe sur l’avenir qu’on m’reserve
Y’en a qui comptent leurs sous moi d’vant la glace je compte mes cernes
Anti-chiennasses, tous mes sons fracassent vos putains
On t’casse les couilles avec le bac une fois qu’tu l’as ça vaut plus rien
Yo j’suis qu’un jeune de plus, qui a suivi l’mauvais chemin
Si tes proches se mettent a 4 pattes, différencies l’homme et le chien
Quand y’a embrouille mes refrés tombent, mais combien d’entre eux veulent les ronds
Combien d’maquettes j’ai envoyé sans recevoir une seule réponse
J’ai peur j’décompte le temps qu’il m’reste, pour construire un av’nir
Sans vice et d’grands business, et sans m’repentir dans la tise
Ma vie est froide et sombre, comme la matraque du maton
Une chose est sûre c’est qu’a ma mort j’aurai des punchlines sur ma tombe
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
Les miens comatent, quant a la rue j’te dis j’l’ai bien rodave
J’me dis qu’j’ai pas les cartes en main pour pouvoir finir plein aux as
Des morts et des remords sont trop présents dans la potion qu’j’tise
Avec un kil on d’vient pas roi la France c’est pas la Colombie
On s’dit libres mais toutes ces tours sont dev’nues nos sons-pri
Ils ont d’la merde dans les oreilles j’arrête le rap j’vais vendre des cotons tiges
Bah ouais j’pars en bataille, un pilon un micro sur l’écusson
Des basses des percussions toutes la journée mais moi j’aime faire du son
A force de jouer près du gouffre trop m’ont dit qu’j’finirai par sauter
Au fond j’suis toujours ce gosse qui vise la Lune les airmax aux pieds
Les salopes aiment la maille t’auras pas d’bas résilles sans gros dollars
Les petits aiment la thaï fini les garrettes-ci en chocolat
On a l’même objectif que la moyenne, noix d’cocos et maroccos
Mais les survets et les casquettes font croire qu’on est pas normaux
Vas dire au millionnaires que les smicards voudraient tout faire péter
J’peux faire du topiari quand les potos ont un bout d’herbe épais
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
J’ai l’impression qu’j’avance pas, c’est quoi les bails enculé ?
Coincé entre les galériens, et ceux qu’ont l’crâne enfumé
J’entends dire que dans l’peura tu perc’ras pas sans sucer
L’industrie me met des vents, mais je n’veux pas m’enrhumer
Les petits gars s’disent grands, barres toi d’ici si t’aimes pas l’ciment,
Besoin de chance dans ma vie j’pétard grigris et talismans
On attend comme des caïmans devant les portes des bâtiments
J’ferai quécro les gars tils-gen, la vie d’ma mère butez-moi si j’ments
Dans l’rap c’est moi l’patron, j’attends juste que les autres me vouvoient
En dessous de l’orage j’attends que la malchance me foudroie
Très peu sournois,parfois j’suis calme et je suis légendaire
Si les autres parlent sur moi, dites leur bien que moi j’les enmerde
C’est pour la Terre entière, la vie ne se réduit pas qu’au quartier
Aux ‘tass et aux tarpés, aux p’tites bagarres et aux vagos crâmées
Tu sais qu’ma prose ranime, faut pas qu’les soss paniquent
Dites aux p’tits qu’on lave pas l’argent sale au lavomatic
Messieurs les mc, vous aviez pourtant dit qu’vous gard’rez vos caleçons
Mais vous baissez vos frocs pour jouer les thugs en gova d’location
J’voulais brasser un peu mais ces bâtards ont pris ma liasse tu vois
Dans le royaume du rap tous les bouffons ont pris la place du roi