La réalité est un cauchemar
Chaque jour toujours plus noir
As-tu encore des rêves dans la vie ?
Moi j'en ai même plus la nuit
Jpense a toute les guerre
Jpense a toute ses victime
Je pense a notre putain Terre
et jpense à la famine
On vit tous au jour le jour
Sans penser à ce qui se passe autour
Notre cercle d'intérêt est restreint
Il s'arrête à la famille, les copains
Malgré la planète qui se réchauffe
La Terre prend ses quartiers d'hiver
Toujours plus froide et plus amère
On ne sait plus à quel saint se vouer
Car dans l'Eglise y'a plus de pédophiles que d'curés
On ne sait plus vers qui se tourner
Car tout le monde te tourne le dos et trace son chemin sans se détourner
Chaque jour plus de merde sur terre
Mais toujours plus esseulé dans sa tête
Alors on se renferme sur nous même
Et on pense les autres coupables de nos problèmes
C'est facile de critiquer autrui mais regarde toi
Et dis moi pour t'extraire de la merde tu fais quoi
Il est temps que tu arrêtes de pleurer sur ton sort
Saches que ce n'est pas en baissant les bras qu'on s'en sort
Si tu n'y arrives pas c'est de la faute de quelqu'un d'autre, c'est facile çà
Parce que tu crois que les autres en ont quelque chose à foutre de toi
Trop de soucisEvite si possible l'alcolimie
Et au lieu de les noyer affronte tes soucis
essaye au moins d'avoir un avenir et une famille
A propos d'avenir en a t'ont encore un
Si oui le ciel sera encore plus sombre demain
Car la pluie qui tombe est comme nos larmes
C'est le monde qui pleure et qui inonde mon âme
Tous ces cris qui résonnent dans ma tête
Se transcrivent sur cette feuille, rien ne m'arrête
Je ne me plains pas que la vie soit dure
J'ai juste peur pour mes enfants et leur futur
Je me demande quel monde on va leur laisser
Dans quel état trouveront-ils notre société ?
Le monde devient sans foi ni loi
Plus personne n'a foi en la loi
Et comme la loi de la foi répand la guerre
Comme une épidémie la Terre devient un grand cimetière
On ne compte plus les morts innocents
Au nom d'un Dieu prônant l'amour soi-disant
Oh non de dieu je blasphème
Pour se sang qui coule hors des veines
Je crois bien que plus personne n'est heureux
On survie mais chaque jour on meurt un peu
Ne cherche pas dans ces lignes la moindre compassion
J'n'y ai mis que mes tripes et ma passion
La moitié du monde fait bosser des enfants comme soldats ou à l'usine
L'autre moitié s'enrichit sur leur dos en faisant croire qu'ils s'indignent
Plutôt indigne de nous diriger
Ce n'est pas qu'on ne peut pas mais on ne veut pas voter
Ils disent nous représenter mais connaissent quoi de nos vies
Ont-ils déjà eu des fins de mois difficile eux aussi
Quel intérêt d'avoir le pouvoir pour rien en faire
Je souhaite qu'ils aillent tous en enfer
A moins que grâce à eux on y soit déjà
Je sens la terre qui brûle sous chacun de mes pas
A moins que se ne soit moi qui me mette à bouillir
Je rentre en éruption je vais exploser et tout dire
Sur mon chemin je sui prêt à tout brûler
Mes mots sont comme la lave qui coule sur le papier
Elle déferle et met le feu sur son passage
Le volcan crache ses flammes comme je crache ma rage
Pour arrêter ça tout ce que je peux faire
C'est écrire ces quelques vers
Vous faire comprendre que le monde va mal
Et qu'il empire chaque jour ce n'est pas normal
Chacun doit faire un geste pour stopper la galère
Qu'elle ne vogue pas jusqu'au bout de la Terre
Car tous ces gens qui crient leur souffrance
Me font mois mal que leur silence
A tous ces politiciens, j'ai envie de dire changer les choses
N'attendez pas que le monde explose
Tu penses que j'ai fait le tour des sujets de misère
T'oublie que j'ai à peine effleuré celui de la guerre
Quelles soient de pouvoir, d'ethnie ou de religion
Ce ne sont que des guerres à la con
Mais tout le monde se fout de tout ce sang
Tant que la vente d'armes rapportera autant d'argent
Car c'est ça le vrai nerf de la guerre
Leur drogue à eux c'est le billet vert
C'est la crise alors pourquoi les prix augmentent
Alors que l'offre devient plus grande que la demande
Y'a pas comme un problème dans l'énoncé
Vous n'avez pas une bonne nouvelle à annoncer
Désolé j'ai du me fourvoyer
Et pensais que vous aviez bossé vous voyez
J'oubliais que ministre et président c'est avant tout fonctionnaire
Et que votre boulot c'est de respirer le grand air
Connaissez-vous la définition du mot conséquence
Ne voyez pas dans le préfixe la moindre ressemblance
Quoique, ça veut dire que vous avez des responsabilités
Et que vos actes il faudra les assumer
Autant d'innocent en prison que de coupable en liberté
Comment voulez vous qu'ont soit en sécurité
Il faudrait déjà qu'on ait des emplois
Que les entreprises qui font des bénéfices ne licencient pas
Et je ne te parle pas des délocalisations
Quand tu sais que même la moutarde ne se fait plus à Dijon
Normal qu'elle me monte au nez
Et que je ne dise que du mal de notre réalité
J'ai l'impression de devenir aigri pourtant je suis jeune et plein de venin
Si j'écris c'est pour représenter ceux qui n'ont plus rien
Est-ce le temps qui noirci mes idées
Ou la folie qui me fait dire la vérité
Chaque jour toujours plus noir
As-tu encore des rêves dans la vie ?
Moi j'en ai même plus la nuit
Jpense a toute les guerre
Jpense a toute ses victime
Je pense a notre putain Terre
et jpense à la famine
On vit tous au jour le jour
Sans penser à ce qui se passe autour
Notre cercle d'intérêt est restreint
Il s'arrête à la famille, les copains
Malgré la planète qui se réchauffe
La Terre prend ses quartiers d'hiver
Toujours plus froide et plus amère
On ne sait plus à quel saint se vouer
Car dans l'Eglise y'a plus de pédophiles que d'curés
On ne sait plus vers qui se tourner
Car tout le monde te tourne le dos et trace son chemin sans se détourner
Chaque jour plus de merde sur terre
Mais toujours plus esseulé dans sa tête
Alors on se renferme sur nous même
Et on pense les autres coupables de nos problèmes
C'est facile de critiquer autrui mais regarde toi
Et dis moi pour t'extraire de la merde tu fais quoi
Il est temps que tu arrêtes de pleurer sur ton sort
Saches que ce n'est pas en baissant les bras qu'on s'en sort
Si tu n'y arrives pas c'est de la faute de quelqu'un d'autre, c'est facile çà
Parce que tu crois que les autres en ont quelque chose à foutre de toi
Trop de soucisEvite si possible l'alcolimie
Et au lieu de les noyer affronte tes soucis
essaye au moins d'avoir un avenir et une famille
A propos d'avenir en a t'ont encore un
Si oui le ciel sera encore plus sombre demain
Car la pluie qui tombe est comme nos larmes
C'est le monde qui pleure et qui inonde mon âme
Tous ces cris qui résonnent dans ma tête
Se transcrivent sur cette feuille, rien ne m'arrête
Je ne me plains pas que la vie soit dure
J'ai juste peur pour mes enfants et leur futur
Je me demande quel monde on va leur laisser
Dans quel état trouveront-ils notre société ?
Le monde devient sans foi ni loi
Plus personne n'a foi en la loi
Et comme la loi de la foi répand la guerre
Comme une épidémie la Terre devient un grand cimetière
On ne compte plus les morts innocents
Au nom d'un Dieu prônant l'amour soi-disant
Oh non de dieu je blasphème
Pour se sang qui coule hors des veines
Je crois bien que plus personne n'est heureux
On survie mais chaque jour on meurt un peu
Ne cherche pas dans ces lignes la moindre compassion
J'n'y ai mis que mes tripes et ma passion
La moitié du monde fait bosser des enfants comme soldats ou à l'usine
L'autre moitié s'enrichit sur leur dos en faisant croire qu'ils s'indignent
Plutôt indigne de nous diriger
Ce n'est pas qu'on ne peut pas mais on ne veut pas voter
Ils disent nous représenter mais connaissent quoi de nos vies
Ont-ils déjà eu des fins de mois difficile eux aussi
Quel intérêt d'avoir le pouvoir pour rien en faire
Je souhaite qu'ils aillent tous en enfer
A moins que grâce à eux on y soit déjà
Je sens la terre qui brûle sous chacun de mes pas
A moins que se ne soit moi qui me mette à bouillir
Je rentre en éruption je vais exploser et tout dire
Sur mon chemin je sui prêt à tout brûler
Mes mots sont comme la lave qui coule sur le papier
Elle déferle et met le feu sur son passage
Le volcan crache ses flammes comme je crache ma rage
Pour arrêter ça tout ce que je peux faire
C'est écrire ces quelques vers
Vous faire comprendre que le monde va mal
Et qu'il empire chaque jour ce n'est pas normal
Chacun doit faire un geste pour stopper la galère
Qu'elle ne vogue pas jusqu'au bout de la Terre
Car tous ces gens qui crient leur souffrance
Me font mois mal que leur silence
A tous ces politiciens, j'ai envie de dire changer les choses
N'attendez pas que le monde explose
Tu penses que j'ai fait le tour des sujets de misère
T'oublie que j'ai à peine effleuré celui de la guerre
Quelles soient de pouvoir, d'ethnie ou de religion
Ce ne sont que des guerres à la con
Mais tout le monde se fout de tout ce sang
Tant que la vente d'armes rapportera autant d'argent
Car c'est ça le vrai nerf de la guerre
Leur drogue à eux c'est le billet vert
C'est la crise alors pourquoi les prix augmentent
Alors que l'offre devient plus grande que la demande
Y'a pas comme un problème dans l'énoncé
Vous n'avez pas une bonne nouvelle à annoncer
Désolé j'ai du me fourvoyer
Et pensais que vous aviez bossé vous voyez
J'oubliais que ministre et président c'est avant tout fonctionnaire
Et que votre boulot c'est de respirer le grand air
Connaissez-vous la définition du mot conséquence
Ne voyez pas dans le préfixe la moindre ressemblance
Quoique, ça veut dire que vous avez des responsabilités
Et que vos actes il faudra les assumer
Autant d'innocent en prison que de coupable en liberté
Comment voulez vous qu'ont soit en sécurité
Il faudrait déjà qu'on ait des emplois
Que les entreprises qui font des bénéfices ne licencient pas
Et je ne te parle pas des délocalisations
Quand tu sais que même la moutarde ne se fait plus à Dijon
Normal qu'elle me monte au nez
Et que je ne dise que du mal de notre réalité
J'ai l'impression de devenir aigri pourtant je suis jeune et plein de venin
Si j'écris c'est pour représenter ceux qui n'ont plus rien
Est-ce le temps qui noirci mes idées
Ou la folie qui me fait dire la vérité