Enfer est dame Nation mais que fait l'Etat
Pour sa nation dans un triste état
Les politiques n'ont aucun état
D'âme, pour ces gens qui vivent dans les tas
D'ordures, limites des bidonvilles
J'pensais la France plus développé que le Brésil
L'esprit brunit car la vue de la rue les démunits
Les démunis et tous ces chômeurs
Et tellement de gens qui n'ont pas chaud meurent
Dans la rue, alors qu'on pourraient les loger dans tous ces ministères
Amer est ma colère et j'en suis fier
Acide sont mes propos envers le gouvernement
Qui juste pour ta gouverne ment
La rue meut enfin à c'qu'on dit
Elle enfle gaver par une boulimie
De pauvreté exponnentielle
Toujours plus de sdf dans nos ruelles
Et j'suis d'accord qu'on peut pas donner
A tout le monde, mais si tout le monde donner
Ça changerai notre monde, les données
Ne seraient pas immondes mais pardonnées.
Obliger de s'en remettre au bon vouloir de ceux qui ont le pouvoir
Mais avant de pouvoir faut surtout vouloir
Moi j'aimerai juste pour voir
Voir la rue vouloir prendre le pouvoir
Qu'enfin elle reprenne le dessus
Car elle en a marre de se faire marcher dessus
Alors elle défile pendant qu'ils se défilent
Relever le défi, le comprendre est trop difficile
Mais si elle s'exprime c'est bien
Qu'il y a une raison ou un besoin
Car si la rue hauuse le ton, ni va pas par quatre chemins
C'est que le temps ou elle était pavée de bonnes intentions est loin
La rue à faim la rue à froid
Elle veut juste un travail et un toit
La rue en a marre de passer l'hiver
A remplir la colonne des faits divers
Politiques prouvez moi qu'il n'y a pas que les restos
Qui ont du cœur et un cerveau
Et qu'il ne manque pas grand-chose
Pour que la rue arrête de mourir des mêmes causes
Trop de sang coule sur nos artères
Trop de gens meurent de vivre sur son parterre
La rue souffre quand on ne s'occupe pas d'elle
La rue meurt surtout si on ne parle pas d'elle
Mais elle s'en sortira quand les politiciens
Emprunteront enfin le droit chemin.
Pour sa nation dans un triste état
Les politiques n'ont aucun état
D'âme, pour ces gens qui vivent dans les tas
D'ordures, limites des bidonvilles
J'pensais la France plus développé que le Brésil
L'esprit brunit car la vue de la rue les démunits
Les démunis et tous ces chômeurs
Et tellement de gens qui n'ont pas chaud meurent
Dans la rue, alors qu'on pourraient les loger dans tous ces ministères
Amer est ma colère et j'en suis fier
Acide sont mes propos envers le gouvernement
Qui juste pour ta gouverne ment
La rue meut enfin à c'qu'on dit
Elle enfle gaver par une boulimie
De pauvreté exponnentielle
Toujours plus de sdf dans nos ruelles
Et j'suis d'accord qu'on peut pas donner
A tout le monde, mais si tout le monde donner
Ça changerai notre monde, les données
Ne seraient pas immondes mais pardonnées.
Obliger de s'en remettre au bon vouloir de ceux qui ont le pouvoir
Mais avant de pouvoir faut surtout vouloir
Moi j'aimerai juste pour voir
Voir la rue vouloir prendre le pouvoir
Qu'enfin elle reprenne le dessus
Car elle en a marre de se faire marcher dessus
Alors elle défile pendant qu'ils se défilent
Relever le défi, le comprendre est trop difficile
Mais si elle s'exprime c'est bien
Qu'il y a une raison ou un besoin
Car si la rue hauuse le ton, ni va pas par quatre chemins
C'est que le temps ou elle était pavée de bonnes intentions est loin
La rue à faim la rue à froid
Elle veut juste un travail et un toit
La rue en a marre de passer l'hiver
A remplir la colonne des faits divers
Politiques prouvez moi qu'il n'y a pas que les restos
Qui ont du cœur et un cerveau
Et qu'il ne manque pas grand-chose
Pour que la rue arrête de mourir des mêmes causes
Trop de sang coule sur nos artères
Trop de gens meurent de vivre sur son parterre
La rue souffre quand on ne s'occupe pas d'elle
La rue meurt surtout si on ne parle pas d'elle
Mais elle s'en sortira quand les politiciens
Emprunteront enfin le droit chemin.