Des mots en travers, le pire m'attend en haut d'la falaise,
Ma vie avance donc j'commets des fautes sans arrêt...
Des crissements de colère, l’œil rouge vif, le cœur en miette,
Quand les souvenirs deviennent le ciment de nos peines.
Rien qui s'brade aussitôt, l'espoir fait vivre de souffrances,
Et les illusions confirment qu'un mirage vaut mille maux.
J'relève la tête, j'en tremble de frayeur, malgré tout j'me félicite,
Comprendre une erreur n'est-ce pas la plus belle des réussites ?
La sirène retentit, le temps d'un rien j'me perd dans mes névroses,
Aussi vrai qu'le danger n'vient pas du bruit, mais d'ses échos...
Le mal-être se décèle quand les marques sur l'épiderme s'aggravent,
Car se sont les cœurs de pierre qui affichent les plus belles façades.
J'tempère jusqu'ici, mais tout s'répète... ADN en spirale,
Les peines sont virales, plus l'temps passe, plus elles s'multiplient.
Tenter d's'évader d'l'arène, sourire et profiter de l'ivresse des fêtes,
Même si vid'rais des mers de larmes juste pour préserver la mienne..
Pas d'démagogie, dès lors que j'massombris, la logique veut,
Qu'blesser une personne qu'on aime soit une forme de masochisme..
Au prix qu'on paie, nos amitiés s’enlisent en fait... même si,
Il n'y a pas de compte à rendre, lorsqu'on sait sur qui compter.
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Ce texte sera retravaillé car il manque de musicalité à mon sens, mais j'avais besoin de me vider la tête.
Ma vie avance donc j'commets des fautes sans arrêt...
Des crissements de colère, l’œil rouge vif, le cœur en miette,
Quand les souvenirs deviennent le ciment de nos peines.
Rien qui s'brade aussitôt, l'espoir fait vivre de souffrances,
Et les illusions confirment qu'un mirage vaut mille maux.
J'relève la tête, j'en tremble de frayeur, malgré tout j'me félicite,
Comprendre une erreur n'est-ce pas la plus belle des réussites ?
La sirène retentit, le temps d'un rien j'me perd dans mes névroses,
Aussi vrai qu'le danger n'vient pas du bruit, mais d'ses échos...
Le mal-être se décèle quand les marques sur l'épiderme s'aggravent,
Car se sont les cœurs de pierre qui affichent les plus belles façades.
J'tempère jusqu'ici, mais tout s'répète... ADN en spirale,
Les peines sont virales, plus l'temps passe, plus elles s'multiplient.
Tenter d's'évader d'l'arène, sourire et profiter de l'ivresse des fêtes,
Même si vid'rais des mers de larmes juste pour préserver la mienne..
Pas d'démagogie, dès lors que j'massombris, la logique veut,
Qu'blesser une personne qu'on aime soit une forme de masochisme..
Au prix qu'on paie, nos amitiés s’enlisent en fait... même si,
Il n'y a pas de compte à rendre, lorsqu'on sait sur qui compter.
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Ce texte sera retravaillé car il manque de musicalité à mon sens, mais j'avais besoin de me vider la tête.