par Coucou tout le monde.
J'aimerais bien des avis objectifs et intelligent (pas des "c'est nul" sans argumentation ) sur mes textes (a tendance dépressives- amoureuses ^^)
Fin mai 2013 ma chère Mélanie.
Je pense bientôt mettre fin à ma vie
Allez dire que personne ne doit pleurer.
Que je veux partie sans de douleur imposer.
Et comme celui qui part part avec son meilleur avocat.
Ce texte sera la lettre qui expliquera tout ça
Encore une journee ou je parle à personne.
Ou j'attends désespérément que ce téléphone sonne.
Et je pars dans ma solitude , dans ma mélancolie
Dans ma tête surgit les images de jess ou de Mélanie.
Moi aussi je cherchai un bout de bois pour me réfugier.
J'en ai trouvé un mais par les termites il est rongé.
J'écoute parler la raison qui me dit que je gâche ma vie
Je pars dans mes délires pour oublier les échecs de mes envies
Confier ma peine je pense que je le ferais un jour
À mine que j'emporte mon silence pour toujours.
J'ai une vie mais j'accuse le monde comme Zola.
Petit à petit l'espoir me quitte yen à plus la.
Faudrait que je lui parle que je lui révèle tout.
Mais même si ça me tue je veut rien lui dire du tout
Trop de conflits avec elles ou avec ma mère
Je suis pas un saint mais pourquoi je suis en enfer.
J'ai mal au cœur trop de rancœur j'en deviens parano.
Tout le monde m'ignore j'ai l'impression qu'on efface leo.
Ça peut être aussi le réalisme qui me fait penser à ça.
Ce choix m'obsède depuis des mois.
J'passe du rire aux larmes je suis sans repère.
Du coup je ne peut m'imaginer être père.
Je suis pas non plus prêt à être en couple je la ferrais chier.
Et quand je la vois chaque fois je me dis qu'elle beauté.
Être heureux pour moi c'est une réalité fausse.
Je ronge le malheur vu qu'à chaque fois y'a un os.
Je suis ni patient y'a pas d'espoir du coup j'attends pas le bonheur.
Je suis en décalage j'arrive pas a attendre mon heure.
Et je continue de la voir je l'aime de plus en plus.
Suis pas abonne a l'amour c'est cryptée comme canal plus
Ses yeux marrons je me plonge dedans
Et j'oublie mes soucis provisoirement
Sa peau blanche ressemble a la lune.
Magnifique inaccessible et qui inspire ma plume.
Mon fardeau est lourd j'essaye de couler mes peines.
Mais elle flottent donc du coup mon cœur saigne.
Comme le Titanic je chante même en train de couler.
Tant que je pourrais je continuerai à rapper.
L'esprit trop occupé pour m'occuper des cours.
J'écris à la place c'est ma seule envie depuis des jours.
Je joue sur mon avenir pour jouer avec des mots
L'écriture m'a thérapie pour évacuer tout mes maux.
J'écris les idées noirs sur ma feuille blanche.
Celle qui noircissent mes nuits blanches.
Celles qui m'empêchent de sentir le parfum de la liberté.
À mes peines pour l'éternité j'y suis enchaîne.
Je pense plus a la mort qu'à cette vie.
En même temps je vis pas je survis.
Ma vue se brouille apparaît des larmes salées.
A la pensée de mes plaies.
Coulant dans celle ci faisant encore plus mal pour empêcher.
Qu'elles puisent se refermer.
Mélanie j'aurai aimer tant te dire que je t'aime.
Que je voulais récolter le bonheur que tu sème.
Que si j'suis si avec toi suis si distant.
C'est juste en rapport avec mes sentiments
J'aimerais bien des avis objectifs et intelligent (pas des "c'est nul" sans argumentation ) sur mes textes (a tendance dépressives- amoureuses ^^)
Fin mai 2013 ma chère Mélanie.
Je pense bientôt mettre fin à ma vie
Allez dire que personne ne doit pleurer.
Que je veux partie sans de douleur imposer.
Et comme celui qui part part avec son meilleur avocat.
Ce texte sera la lettre qui expliquera tout ça
Encore une journee ou je parle à personne.
Ou j'attends désespérément que ce téléphone sonne.
Et je pars dans ma solitude , dans ma mélancolie
Dans ma tête surgit les images de jess ou de Mélanie.
Moi aussi je cherchai un bout de bois pour me réfugier.
J'en ai trouvé un mais par les termites il est rongé.
J'écoute parler la raison qui me dit que je gâche ma vie
Je pars dans mes délires pour oublier les échecs de mes envies
Confier ma peine je pense que je le ferais un jour
À mine que j'emporte mon silence pour toujours.
J'ai une vie mais j'accuse le monde comme Zola.
Petit à petit l'espoir me quitte yen à plus la.
Faudrait que je lui parle que je lui révèle tout.
Mais même si ça me tue je veut rien lui dire du tout
Trop de conflits avec elles ou avec ma mère
Je suis pas un saint mais pourquoi je suis en enfer.
J'ai mal au cœur trop de rancœur j'en deviens parano.
Tout le monde m'ignore j'ai l'impression qu'on efface leo.
Ça peut être aussi le réalisme qui me fait penser à ça.
Ce choix m'obsède depuis des mois.
J'passe du rire aux larmes je suis sans repère.
Du coup je ne peut m'imaginer être père.
Je suis pas non plus prêt à être en couple je la ferrais chier.
Et quand je la vois chaque fois je me dis qu'elle beauté.
Être heureux pour moi c'est une réalité fausse.
Je ronge le malheur vu qu'à chaque fois y'a un os.
Je suis ni patient y'a pas d'espoir du coup j'attends pas le bonheur.
Je suis en décalage j'arrive pas a attendre mon heure.
Et je continue de la voir je l'aime de plus en plus.
Suis pas abonne a l'amour c'est cryptée comme canal plus
Ses yeux marrons je me plonge dedans
Et j'oublie mes soucis provisoirement
Sa peau blanche ressemble a la lune.
Magnifique inaccessible et qui inspire ma plume.
Mon fardeau est lourd j'essaye de couler mes peines.
Mais elle flottent donc du coup mon cœur saigne.
Comme le Titanic je chante même en train de couler.
Tant que je pourrais je continuerai à rapper.
L'esprit trop occupé pour m'occuper des cours.
J'écris à la place c'est ma seule envie depuis des jours.
Je joue sur mon avenir pour jouer avec des mots
L'écriture m'a thérapie pour évacuer tout mes maux.
J'écris les idées noirs sur ma feuille blanche.
Celle qui noircissent mes nuits blanches.
Celles qui m'empêchent de sentir le parfum de la liberté.
À mes peines pour l'éternité j'y suis enchaîne.
Je pense plus a la mort qu'à cette vie.
En même temps je vis pas je survis.
Ma vue se brouille apparaît des larmes salées.
A la pensée de mes plaies.
Coulant dans celle ci faisant encore plus mal pour empêcher.
Qu'elles puisent se refermer.
Mélanie j'aurai aimer tant te dire que je t'aime.
Que je voulais récolter le bonheur que tu sème.
Que si j'suis si avec toi suis si distant.
C'est juste en rapport avec mes sentiments
