la mort on la déteste car on ne veux entendre la vérité
parce que la vie est un mensonge je fait preuve de véracité
mon coeur une éponge bien trop essorée,
esseulé je gravis les ponts et les monts élevés
lessivé je me lève quand même aux aurores
pour voir des horreurs engendrées par des sévices
il n'y a plus de service publique c'est chacun pour soi
les malheurs bibliques s'abattent et on se demende pourquoi
toi et uniquement toi dans ton monde perfide
on persiste à se mentir dans la honte et les coeurs sont vident
les couilles se vident comme un compte en liquide
les pucelles veulent devenir des chiennes
les hyenes s'émancipent pour quelques parcelles
constamment il faut des plans et les suivre ardemment
et si je décède je n'aurai pas de testament
simplement car je ne veux rien laisser dans ce monde cruel.
en soixante quatre bars je viens chanter ma mélancolie
je suis seul dans mon lit mais je me mêle en reverie
ma tristesse est turgescente je n'ai plus d'amour pour mon pays
comme George Sand je me dissimule sous un pseudonyme
l'hymne la main sur le coeur ce n'est plus qu'un acronyme
anonyme animer par le rap français des années quatre vingt dix
je fait un art amer souvent décrit comme un vice
le ce-vi est de ne pas le respecter car il est triste.
on veut la paix mais on l'obtient avec des armes de guerres
l'arme de paix pour des larmes au cimetierre
c'est un triste thème, mes meuz un bouquet de chrysanthème
des rimes j'en ai des centaines mais très peu en valent la peine
et si je peine à m'ouvrir c'est que j'ai peur de me couper
ma detresse coure vite donc j'en livre au compte goutte
j'ai trouver dans le rap ce que je ne voie pas dans tes yeux
l'avis des autres je m'en bas les yeuk je vis pas pour eux
les comérages nous ralentissent, pendant qu'on parle des autres
on prend de l'age et on s'aperçoit que sa vie est passées
donc j'ai la rage d'Ali et les médisants seront terrassés
en soumsoum l'état recrute ses apôtres
ça part en cettesu sans dessous sans dessus
nous suce le sang comme des sangsus
on veut le sud sans en être sur donc on ne fait que cessu
il y a mille issues mais on ne voit que la chute
nos biens des épissures qu'on abandonne à la fin de la lutte
mon but n'est pas de polémiquer ou politiser
une situation qui ne cesse d'empirer
ampirique est la manière ma bannière est plier
quand les jeunes parlent hugo perds ses vers
c'est dead et sévère dans ce monde je persévère
pour écrire mes vers à travers l'instru clair
et si je perds mes mots c'est que je n'ai plus d'air
si la vie est mieux à deux alors j'ai plus qu'a etre skyzo
la vie est un zoo fréro on a eu la preuve avec sarko
j'fait c'que j'fait pour tous pas juste pour des euros
j'veux faire des heureux mais ce monde est bargo
loin de l'époque de toto la jeunesse est vulgaire
on dirait que le trotoir recrute des la primaire
les pieds sur terre je ne crois qu'en moi même
car les élites n'agissent que pour eux mêmes
j'pourrais boire des litres et rester alité des années
ou je pourrais quiter mon pays en toute équité
les jeunes sont paniqué de ne pas niquer
on porte l'oeil sur des faits abstraits en laisant passer
des pans entiers de gosses en linceul les parents pleurent seul
notre seul excuse est que la vie nous à terrasser
j'en ai assez, ma muse chiale face aux drames qu'on te sert en tilleul
les valeurs sont anorexyques et je suis boulémique de pleurs.
parce que la vie est un mensonge je fait preuve de véracité
mon coeur une éponge bien trop essorée,
esseulé je gravis les ponts et les monts élevés
lessivé je me lève quand même aux aurores
pour voir des horreurs engendrées par des sévices
il n'y a plus de service publique c'est chacun pour soi
les malheurs bibliques s'abattent et on se demende pourquoi
toi et uniquement toi dans ton monde perfide
on persiste à se mentir dans la honte et les coeurs sont vident
les couilles se vident comme un compte en liquide
les pucelles veulent devenir des chiennes
les hyenes s'émancipent pour quelques parcelles
constamment il faut des plans et les suivre ardemment
et si je décède je n'aurai pas de testament
simplement car je ne veux rien laisser dans ce monde cruel.
en soixante quatre bars je viens chanter ma mélancolie
je suis seul dans mon lit mais je me mêle en reverie
ma tristesse est turgescente je n'ai plus d'amour pour mon pays
comme George Sand je me dissimule sous un pseudonyme
l'hymne la main sur le coeur ce n'est plus qu'un acronyme
anonyme animer par le rap français des années quatre vingt dix
je fait un art amer souvent décrit comme un vice
le ce-vi est de ne pas le respecter car il est triste.
on veut la paix mais on l'obtient avec des armes de guerres
l'arme de paix pour des larmes au cimetierre
c'est un triste thème, mes meuz un bouquet de chrysanthème
des rimes j'en ai des centaines mais très peu en valent la peine
et si je peine à m'ouvrir c'est que j'ai peur de me couper
ma detresse coure vite donc j'en livre au compte goutte
j'ai trouver dans le rap ce que je ne voie pas dans tes yeux
l'avis des autres je m'en bas les yeuk je vis pas pour eux
les comérages nous ralentissent, pendant qu'on parle des autres
on prend de l'age et on s'aperçoit que sa vie est passées
donc j'ai la rage d'Ali et les médisants seront terrassés
en soumsoum l'état recrute ses apôtres
ça part en cettesu sans dessous sans dessus
nous suce le sang comme des sangsus
on veut le sud sans en être sur donc on ne fait que cessu
il y a mille issues mais on ne voit que la chute
nos biens des épissures qu'on abandonne à la fin de la lutte
mon but n'est pas de polémiquer ou politiser
une situation qui ne cesse d'empirer
ampirique est la manière ma bannière est plier
quand les jeunes parlent hugo perds ses vers
c'est dead et sévère dans ce monde je persévère
pour écrire mes vers à travers l'instru clair
et si je perds mes mots c'est que je n'ai plus d'air
si la vie est mieux à deux alors j'ai plus qu'a etre skyzo
la vie est un zoo fréro on a eu la preuve avec sarko
j'fait c'que j'fait pour tous pas juste pour des euros
j'veux faire des heureux mais ce monde est bargo
loin de l'époque de toto la jeunesse est vulgaire
on dirait que le trotoir recrute des la primaire
les pieds sur terre je ne crois qu'en moi même
car les élites n'agissent que pour eux mêmes
j'pourrais boire des litres et rester alité des années
ou je pourrais quiter mon pays en toute équité
les jeunes sont paniqué de ne pas niquer
on porte l'oeil sur des faits abstraits en laisant passer
des pans entiers de gosses en linceul les parents pleurent seul
notre seul excuse est que la vie nous à terrasser
j'en ai assez, ma muse chiale face aux drames qu'on te sert en tilleul
les valeurs sont anorexyques et je suis boulémique de pleurs.
[MAJ] Voila j'ai terminer d'écrire mon premier 64 meuz. Donnez vos avis SVP.
Dernière édition par lobjoui le Jeu 15 Nov - 10:16, édité 1 fois