par On comprendra quand on sera grand comme on dit
C'est que des meurtres que le monde commandite
Parlez moi pas de justice putain comme j'en ris
Pour un quart d'heure de bonheur on prend des risques
Si tu vois ce que j'veux dire tu connais le disque
J'entends la haine sévir dans mes mots distants
J'ai trop souffert alors j'fais preuve de disgrâce
C'est que dans la drogue que le monde s'extase
Dans la vie y'a certaines choses qui jamais s'expliquent
C'est dans les ruelles sombres que pousse l'illicite
Les gars si c'est la guerre c'est que l'incipit
J'vois souvent la daronne souffrante d'inquiétude
Mère si tu pleurs j't'en prie pardonne mes tords
J'crèverai pas de vieillesse mais de remords
J'aurais plutôt dû écouter tout ses reproches
Je crains le jour où s'en iront mes proches
Trop de choses à dire alors mes mots s'écorchent
Mes ancêtres à moi sont mort en leur coupant la gorge
C'est sur douleurs que mes couilles se forgent, frère
J'bâtis un monastère, à partir d'une simple brique
Il me repousse dans tentacules quand on me brise
Y'a plus besoin de lutter quand tu succombes au vice
J'écris depuis longtemps mais j'dénombre pas 1 disque
J'm'en fou je rap seul dans mon coin le reste j'm'en fiche
Ils ont écrit sur le journal que les flics m'ont maîtrise
Fourré dans les embrouilles depuis la classe de la maîtresse
Critiqué depuis tout petit d'un paraître de paresse
Alors comme ça j'suis violent et arrogant à ce qu'il paraît
Par malheur ils ont été fusillés ceux qui ont trop parlé
Parfois dans la vie vaut mieux pas s'exprimer
Ouais tu sais un simple mot suffit à être réprimer
Les citoyens luttent contre un Etat de répression
Un jour j'marcherai sur le chemin de la rédemption
Je m'arrête pas là nan j'ai encore de l'ambition
J'veux pas que pour moi on ai de l’empathie
C'est pour ceux partit trop tôt que je compatis
Et pour reprendre ce qu'on me doit que je combattrai
Faut de l'audace car de ce que j'ai jamais je me contenterai
J'crèverai pas comme une merde à cause d'espoirs condensés
Alors comme ça, on nous parle de perspectives d'avenir
Que d'la connerie j'vois déjà la perception à venir
Regarde au tour de toi c'est choquant la présomption
La météo de demain n'a que des mauvaises prévisions
A quoi bon croire à des foutus promesses prétendus
Les lampadaires s'éteignent et la violence s'accentue
J'ai plus rien à perdre alors j'me risque à l'aventure
De nombreux méfaits commis sont dans l'inventaire
J'suis un grande gueule ouais mais j'invente rien
J'garde la tête haute car ma fierté m'entretient
Allongé sur le lit j'rêve de belles choses entre-temps
J'reconnais que j'ai souvent foiré ce que j'entreprends
J'ai beaucoup prié mais on dirait que Dieu m'entend pas
J'écris au fond de la classe et on m'entend pas
C'est dur d'avancer quand tu montes en bas
Tes sentiments, surtout ne les montres pas
Les antécédents, ça m'apprend les aléas d'la vie
Je côtoie le malheur car le bonheur m'évite
L'hôpital se fou de la charité si l'amour m'envie
Ouais de là où je suis y'a que le Diable qui m'écrit
On me donne rien car on m'a dit que tout se mérite
J'regrette d'être sensible car beaucoup de choses m’irritent
Si j'ai plongé c'est parce que j'suis tombé sur un mirage
J'ai pleuré quand on m'a dit l'innocence a une limite d'âge
Eh ouais, la vérité ça blesse, on connait tous l'image
Rien ne se réalise mais c'est souvent que j'imagine
Aujourd'hui c'est au tabac-presse qu'on joue les Mesrine
Pour un billet rose certains agiraient sans esprit
Une sale réputation fait qu'on me regarde avec mépris
Si tu m'prends pour une pute alors tu te méprends
Fait gaff, trop d'à priori peuvent entraîner des actes violents
Les premiers qui meurt tu sais ce sont les vaillants
Sur chaque ami je pose un regard bienveillant
Pour tout vous dire mes deux yeux sont suffisants
C'est que des meurtres que le monde commandite
Parlez moi pas de justice putain comme j'en ris
Pour un quart d'heure de bonheur on prend des risques
Si tu vois ce que j'veux dire tu connais le disque
J'entends la haine sévir dans mes mots distants
J'ai trop souffert alors j'fais preuve de disgrâce
C'est que dans la drogue que le monde s'extase
Dans la vie y'a certaines choses qui jamais s'expliquent
C'est dans les ruelles sombres que pousse l'illicite
Les gars si c'est la guerre c'est que l'incipit
J'vois souvent la daronne souffrante d'inquiétude
Mère si tu pleurs j't'en prie pardonne mes tords
J'crèverai pas de vieillesse mais de remords
J'aurais plutôt dû écouter tout ses reproches
Je crains le jour où s'en iront mes proches
Trop de choses à dire alors mes mots s'écorchent
Mes ancêtres à moi sont mort en leur coupant la gorge
C'est sur douleurs que mes couilles se forgent, frère
J'bâtis un monastère, à partir d'une simple brique
Il me repousse dans tentacules quand on me brise
Y'a plus besoin de lutter quand tu succombes au vice
J'écris depuis longtemps mais j'dénombre pas 1 disque
J'm'en fou je rap seul dans mon coin le reste j'm'en fiche
Ils ont écrit sur le journal que les flics m'ont maîtrise
Fourré dans les embrouilles depuis la classe de la maîtresse
Critiqué depuis tout petit d'un paraître de paresse
Alors comme ça j'suis violent et arrogant à ce qu'il paraît
Par malheur ils ont été fusillés ceux qui ont trop parlé
Parfois dans la vie vaut mieux pas s'exprimer
Ouais tu sais un simple mot suffit à être réprimer
Les citoyens luttent contre un Etat de répression
Un jour j'marcherai sur le chemin de la rédemption
Je m'arrête pas là nan j'ai encore de l'ambition
J'veux pas que pour moi on ai de l’empathie
C'est pour ceux partit trop tôt que je compatis
Et pour reprendre ce qu'on me doit que je combattrai
Faut de l'audace car de ce que j'ai jamais je me contenterai
J'crèverai pas comme une merde à cause d'espoirs condensés
Alors comme ça, on nous parle de perspectives d'avenir
Que d'la connerie j'vois déjà la perception à venir
Regarde au tour de toi c'est choquant la présomption
La météo de demain n'a que des mauvaises prévisions
A quoi bon croire à des foutus promesses prétendus
Les lampadaires s'éteignent et la violence s'accentue
J'ai plus rien à perdre alors j'me risque à l'aventure
De nombreux méfaits commis sont dans l'inventaire
J'suis un grande gueule ouais mais j'invente rien
J'garde la tête haute car ma fierté m'entretient
Allongé sur le lit j'rêve de belles choses entre-temps
J'reconnais que j'ai souvent foiré ce que j'entreprends
J'ai beaucoup prié mais on dirait que Dieu m'entend pas
J'écris au fond de la classe et on m'entend pas
C'est dur d'avancer quand tu montes en bas
Tes sentiments, surtout ne les montres pas
Les antécédents, ça m'apprend les aléas d'la vie
Je côtoie le malheur car le bonheur m'évite
L'hôpital se fou de la charité si l'amour m'envie
Ouais de là où je suis y'a que le Diable qui m'écrit
On me donne rien car on m'a dit que tout se mérite
J'regrette d'être sensible car beaucoup de choses m’irritent
Si j'ai plongé c'est parce que j'suis tombé sur un mirage
J'ai pleuré quand on m'a dit l'innocence a une limite d'âge
Eh ouais, la vérité ça blesse, on connait tous l'image
Rien ne se réalise mais c'est souvent que j'imagine
Aujourd'hui c'est au tabac-presse qu'on joue les Mesrine
Pour un billet rose certains agiraient sans esprit
Une sale réputation fait qu'on me regarde avec mépris
Si tu m'prends pour une pute alors tu te méprends
Fait gaff, trop d'à priori peuvent entraîner des actes violents
Les premiers qui meurt tu sais ce sont les vaillants
Sur chaque ami je pose un regard bienveillant
Pour tout vous dire mes deux yeux sont suffisants
!
